Wadi Sabarah
Un hôtel confidentiel, posé entre désert et mer, dans une architecture minérale.
En avril dernier, après notre croisière sur le Nil, on a mis le cap vers la mer Rouge.
Un shot de bleu et d’ocre, une biodiversité incroyable, et des jardins de corail multicolores : c’est clairement l’un des endroits les plus riches en tortues, barracudas et poissons que j’aie jamais vus.
L’hôtel est posé entre désert et mer, dans une architecture minérale. Les grands volumes rappellent certains hôtels du nord de l’Afrique : hauts plafonds, salles qui résonnent… Mais ici, l’effet est tout autre : le lieu est moderne, épuré. Un staff adorable apportent une chaleur bienvenue et propose des excursions dans le désert ou en mer.


Ce qu’on a aimé :
Une ambiance familiale avec une cuisine simple et savoureuse. Si bien qu’on a fini par rapprocher les tables et dîner avec les parents d’une nouvelle copine pour Pia.
Une grande piscine, des transats en bois, un ciel immense.
Un ponton qui traverse un lagon rocheux peuplé de raies et de crabes, pour rejoindre la barrière de corail. Encore une fois, masque et tuba suffisent.
À quelques mètres, un club de plongée propose baptêmes et sorties. Pendant que l’un explorait les fonds, l’autre profitait de la piscine avec notre fille. On a aussi fait une sortie à la fameuse Dolphin House, cette fois tous les trois — une rencontre inoubliable (mais respectueuse) avec les dauphins dans leur habitat naturel.
Wadi Sabarah, à partir de 120 euros la nuit en avril par exemple